Versement de pensions à l’étranger. Olivier Bertaux répond à Boulevard Voltaire

Écrit par Contribuables Associés

Verser de l’argent à l’étranger et le déduire de ses impôts, c’est possible ! Olivier Bertaux, expert fiscal de Contribuables Associés, répond à Boulevard Voltaire. Article du 30 septembre 2024.

« Le versement de pensions à l’étranger soulève un second problème, celui du contrôle. Olivier Bertaux, expert fiscal de Contribuables Associés, association qui milite pour la réduction des dépenses publiques et contre le gaspillage des impôts, explique à BV : « Dès que ça touche l’étranger, on a très peu de moyens de contrôle. Pour savoir si la personne qui reçoit la pension est réellement dans le besoin, c’est très difficile ». Il rappelle que les déclarations d'impôts sont « purement déclaratives » et qu’aucun justificatif n’est demandé. L’expert fiscal pense que cette difficulté de contrôle et l’absence de demande d’attestation de situation financière entraînent des « abus ».

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Publié le mardi, 01 octobre 2024

7 Commentaires

  • Lien vers le commentaire Jacques lundi, 07 octobre 2024 Posté par Jacques

    Pour information
    Une bénéficiaire d'une petite pension de retraite du Québec doit, c'est bien normal, fournir tous les ans un certificat de vie ,et cette pension est amputée d'un prélèvement forfaitaire de 25%...

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  • Lien vers le commentaire MARTEL lundi, 07 octobre 2024 Posté par MARTEL

    trop de pensions versées à des ressortissants étrangers sensés être âgés de plus de 100 ans!!! ils vivent longtemps à l'étranger!!!!! bref, il est nécessaire de mettre un contrôle sévère avec présentation des individus au consulat avec un programme de reconnaissance faciale ou autre mais qu'on arrête ces fuites d'argent chez les autres!!!

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  • Lien vers le commentaire D. GIULJ dimanche, 06 octobre 2024 Posté par D. GIULJ

    Je suis bénéficiaire d'une pension supplémentaire (versée en France) de mon ancienne compagnie.
    Je reçois tous les ans une demande par courrier de l'organisme payeur de leur fournir un "certificat de vie".
    Pour les bénéficiaires résidant à l'étranger, on pourrait s'inspirer de cette mesure en rendant le versement de la pension à l'étranger conditionnel à une présentation personnelle une fois par an au consulat de France le plus proche muni d'une carte de pensionnaire / retraité français, avec photo et empreintes digitales. Cela permettrait de vérifier chaque année que le bénéficiaire est bien le bon et toujours en vie. Sinon on suspend le paiement de la pension; en cas de contestation il incomberait alors au bénéficiaire de prouver sa bonne foi ... et qu'il est encore en vie ! Il y aurait sans doute des moyens de contourner cela mais on diminuerait la casse.

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  • Lien vers le commentaire Le levrier dimanche, 06 octobre 2024 Posté par Le levrier

    C'est incroyable
    Et ils veulent augmenter les impôts

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  • Lien vers le commentaire JC dimanche, 06 octobre 2024 Posté par JC

    Il est pourtant facile de s'assurer que les "retraités algériens" sont toujours en vie : la CARSAT enverrait chaque année un imprimé pour que le retraité fournisse en retour ses empreintes digitales, ou mieux encore son ADN sur un coton-tige (l'analyse lui étant évidemment facturée). Faute de retour de ce document, la pension ne serait plus versée. La technique existe, la volonté gouvernementale "aplaventriste" beaucoup moins.

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  • Lien vers le commentaire VUITTENEZ samedi, 05 octobre 2024 Posté par VUITTENEZ

    Commencer par obliger les étrangers à venir personnellement en France toucher leurs allocations au moins une fois par an et vous verrez qu'il y a moins de fraude .

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  • Lien vers le commentaire JANASZAK samedi, 05 octobre 2024 Posté par JANASZAK

    Tous les étrangers percevant une retraite française et résidant dans leur pays d'origine , ainsi que les français qui résident longtemps à l'étranger devraient justifier de leur identité .
    Pour ce faire et pour supprimer en grande partie les fraudes , il faudrait qu'ils se rendent à l'ambassade de France du pays concerné, à une date convenue , pour un prélèvement ADN , une prise d'empreintes digitales et un contrôle d'identité (identité qui devrait se faire au plus tard tous les deux ans en comparaison avec les empreintes digitales) .
    A défaut , leur retraite serait supprimée . Cela éviterait de verser des retraites aux personnes décédées ou à certains centenaires morts depuis longtemps .

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