En effet, souvenons du discours du gouvernement lors de la mise en place du prélèvement à la source en 2019 : grâce à lui, le contribuable n’aurait plus à s’inquiéter du paiement de son impôt puisque celui-ci serait désormais pris directement lors du paiement du revenu.
Or, on nous apprend aujourd’hui qu’à défaut de loi de finances votée avant le 31 décembre dernier 2024 pour actualiser le barème d’impôt sur le revenu, l’impôt 2024 risque d’être finalement plus élevé pour tous ceux dont les revenus auront augmenté en 2024, ne serait-ce que du fait de l’inflation.
Un supplément d’impôt leur serait donc demandé en 2025, en même temps qu’ils recevront leur avis d’imposition en août ou septembre prochain.
Autrement dit, contrairement aux promesses des derniers gouvernements, le contribuable ne sait toujours quelle est son imposition au moment où il perçoit son revenu. Le prélèvement à la source qui devait constituer le remède miracle à l’impôt rétroactif n’a donc en réalité rien résolu.
Le prélèvement déjà payé par le contribuable en 2024 sur ses revenus n’a finalement pas libéré le contribuable de son impôt.
Le débat actuel sur l’absence de revalorisation du barème de l’impôt sur le revenu ne fait ainsi que révéler au grand jour que ce n’est qu’en 2025 que le contribuable finit de payer son impôt sur ses revenus 2024.
Le prélèvement à la source qui devait rendre simultanés la perception du revenu et le paiement de l’impôt n’est donc bien qu’un leurre qui permet juste au fisc de collecter plus tôt et plus sûrement l’impôt.
Le gouvernement arrivera peut-être à faire en sorte que les contribuables ne paient pas plus d’impôt à cause d’un budget en retard, soit en forçant sur la rétroactivité dans l’intérêt du contribuable, soit en demandant à l’administration d’agir par simple voie d’instruction fiscale à la légalité douteuse.
Mais quelle que soit la solution qu’il trouvera, demandons-lui de commencer par reconnaître les mensonges de l’Etat.
A l’avenir, que le législateur profite de la leçon pour voter une loi d’indexation automatique de tous les barèmes d’imposition, seuils et abattements (revenus, succession, IFI…), pour garantir le contribuable contre les mauvaises surprises mais aussi pour soulager le travail du parlementaire : tout ce qui est indexé n’est plus à voter.
Il a bien su le faire dans l’intérêt des collectivités locales quand il s’est agi d’indexer l’assiette de la taxe foncière et de la taxe foncière, rendant leur augmentation incontrôlable.
Pourquoi ne pourrait-il pas le faire quand il s’agit d’indexer des barèmes dans l’intérêt des contribuables ?
A lire également : Pourquoi les contribuables sont contre la retenue de l’impôt à la source (Janvier 2016)
C.A. na pas soutenu le P.A.S.
Et moi Itou !
Comme la politique du ''quoi qu'il en coûte ! '' au moment du COVID, le P.A.S. est une aberration de technocrates.
Le quoi qu'il en coûte, je l'ai dit sur le site C.A. dès le lendemain de l'annonce du P.R. du 12/03/2020 (donc je ne vais pas dans le sens du vent qui tourne depuis quelques temps), était une ineptie sans nom quand on est déjà perclus de dettes : 1>bloquer le pays à pas bosser, 2>payer tout le monde à rien faire, 3>s'abstenir subséquemment de faire rentrer les impôts et taxes dans les caisses publiques, quelle irresponsabilité, en plus, annoncée à grand coup d'effet de théâtre de télé de la part d'un énarque, et banquier en plus.
Le P.A.S., c'est pareil dans le raisonnement technocratique pour bouleverser le bon sens de base. Sous prétexte de simplifier le système on oublie qu'il faut remettre les pendules à l'heure et régulariser après coup, c'est double opération.
Sans compter les bogues ... du style budget 2025 introuvable.
Enfin introuvable, oui, avec des politiciens davantage préoccupés par leurs postes et fauteuils que par les finances du pays !
Les impôts ont été abrogés donc, c'est du raquette(lois maritime), le BAR n'existe plus, c'est la loi commun qui est en vigueur.
Ne mélangeons pas tout
La motion de censure a eu pour conséquence le report des taux de prélèvement de 2024 sur 2025 sans indexation possible liée à l'inflation
Le gouvernement a maintes fois alerté sur ce problème
Le RN a soutenu qu'un amendement était possible
Cela ne l'était pas
Que ceux qui ont voté la motion de censure assume leur choix
Bravo a tout ceux qui ponde
Les lois
Mais pour tout les français et les retraités la misère arrive
Mais vous Monsieur le premier ministre quand pensez vous
Je pense que moi fois ce
N'est pas votre problème
Là seul chose l'argent l'argent
Pour soit dit en passant
Pour le déficits a qui la
Faute ces pas nous
Et vos réforme et taxes vont
Perduré
Comme d'habitude les
Perdants ces nous
Vraiments ralebole
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