Jeux olympiques de Paris 2024 : eldorado rêvé ou gouffre financier ? Avec l’inflation, les dépenses annexes imprévues, le contexte politique tendu et les pressions salariales, les retombées économiques risquent de ne pas être à la hauteur des attentes. Qu’en est-il réellement ? Jean-Baptiste Leon, directeur des publications de Contribuables Associés, répond à Valeurs actuelles.
"Alors que le Fond Monétaire International (FMI) estime que le déficit public français devrait avoisiner 4,5% du PIB d’ici la fin du mandat d’Emmanuel Macron et que le Haut Conseil des dépenses Publiques (HCDP) avait déja souligné que les prévisions de réduction de déficit à l’horizon 2027 manquaient de “crédibilité”, les Jeux olympiques 2024 ne risquent pas d’alléger la facture française. Initialement, Paris avait prévu un budget de 3,8 milliards d’euros. Il avoisine aujourd’hui les 12 milliards d’euros. « On peut craindre que la facture explose encore », alerte Jean-Baptiste Leon, directeur des publications chez Contribuables Associés".
Article (payant) à lire ici et également dans l'édition du jeudi 04 juillet 2024
Tous contribuables #31 " Jeux Olympiques. Plus vite, plus haut, plus cher !" (Juin-Août 2024)
Et dire que tout le monde s'est gargarisé de jeux olympiques très réussis ! Le panégyrique à la télé était quand même d'anthologie.
Une fois encore, personne ne se soucie de qui paiera les surcoûts non financés, enfin!! financés par des dettes remboursées par les pas encore nés. Malgré nos déficits abyssaux, au delà de ceux de nos voisins, déjà préexistants, et déjà refilés aux suivants.
Belle réussite : on refile la note à ceux qui n'ont pas voix au chapitre. C'est très démocratique, ça, les dettes refilées aux suivants. C'est très éthique.
On offre du pain et des jeux aux présents pour leur faire ouvrir des yeux ébahis ... sur le dos des suivants.
Et on présente ça comme une affaire magnifiquement réussie.*
La glose des beaux parleurs permet bien des dévoiements.
Bonjour à tous,
Il faut bien rappeler à tous, que dans tous les domaines concernant l'agglomération parisienne, les déficits d'investissements et de fonctionnements sont comblés par les contribuables français.
Par exemple, et peu de gens le savent, les déficits des transports parisiens et de la SNCF sont financés par le versement transport des contribuables de la nation. Ce versement est inclus dans le prix des billets/abonnements aux transports publiques des régions.
Bien solidairement .
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