Dirigé depuis douze ans par le socialiste Jack Lang (85 ans), ancien ministre de la Culture, l’Institut du monde arabe (IMA) fait l’objet d’un rapport détaillé de la Cour des comptes.
L’institution de la rue Cambon relève une gestion interne défaillante tout en s’interrogeant sur la pérennité du modèle stratégique de l’IMA, échafaudée voici plus de 40 ans sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing.
Parmi les points de gestion défaillants, la Cour pointe notamment une situation financière précaire : alors que les produits d’exploitation ont varié entre 18,7 millions et 24,9 millions d'euros de 2012 à 2023, la subvention de l’État reste la principale recette (12,3 millions d'euros par an) de l’IMA.
Le financement de l’Institut pèse exclusivement sur les épaules des contribuables français : « Les [22] pays arabes fondateurs n’abondent plus le budget, alors qu’ils devaient y subvenir à hauteur de 40 %, préférant apporter des concours ponctuels et limités » aux projets qu’ils choisissent, écrivent les rapporteurs.
La Cour note aussi le faible niveau du mécénat (1,75 million d'euros par an en moyenne) dont 0,5 million à la charge du seul groupe Total Energie.
Face à des recettes sous contraintes, l’IMA maîtrise mal ses charges, et enregistre un déficit d’exploitation toujours supérieur à 1 million par an, et pouvant même dépasser 4 millions (2017), note la Cour.
Seuls les placements financiers issus du fonds de réserve (60 millions d'euros) de l’IMA permettent de colmater les brèches. Mais, les magistrats financiers soulignent que la performance des rendements obligataires ne sera pas toujours aussi élevée.
Pour stabiliser cette situation les magistrats préconisent de rapprocher l’IMA avec l'Afalula, l’Agence française pour le développement d’Al-Ula (une province saoudienne qui s'ouvre au tourisme), dont le financement est assuré par l’Arabie saoudite.
En France, cette agence est présidée par le socialiste Jean-Yves Le Drian (77 ans), ancien ministre des Affaires étrangères, un janissaire proche d’Emmanuel Macron.
Dans la réponse adressée à la Cour, l’IMA fait notamment valoir que la subvention de l’État n’a pas été augmentée depuis plus de 15 ans, et reconnaît que miser sur le retour à d’une contribution financière régulière des États arabes fondateurs serait illusoire.
A terme, la Cour s’interroge sur la pérennité du modèle stratégique de l’IMA en relevant que les activités culturelles placées sous son égide sont « foisonnantes et reconnues, mais leur rayonnement reste principalement parisien, sans pouvoir jouer un rôle massif et signifiant pour améliorer l’intégration des diasporas arabes en France ».
Au terme de son enquête, la Cour note que plusieurs éléments « peuvent faire craindre un affaiblissement de la raison d’être de l’IMA ».
Il faut faire pression par une pétition pour cesser de financer l’IMA
Ce truc ne sert à rien à part faire mousser le coran et remplir l'escarcelle de J.lang, toujours là malgré un gigantesque concert de casseroles !
Ça suffit ! Rendez nous notre argent !
Cessons d'engraisser cet institut qui n'apporte rien à mon pays !
Lang suspecté de pédophilie dans l'affaire du coral, lieu de vie tenu par des socialos ... Ce type nous ruine, qu'il file en EHPAD à 85 balais, on n'en veut plus !
Il faut fermer cet établissement utilisé comme ehpad par mr Lang 85 ans !! Encore un gouffre financier qui n est d'aucune aide pour l intégration des arabes....visité uniquement par les bobos parisiens !!!
A supprimer, Mr lang gonflé au botox
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