Dans cette chronique intitulée «L’irresponsabilité de la CGT va aggraver la crise après le déconfinement», Gilles-William Goldnadel critique l’impunité dont ce syndicat bénéficie.
L'essayiste y reprend de larges extraits d'un récent article (23.04.2020) dans lequel nous dénoncions l'action néfaste de la CGT, alors que la France doit faire face à une crise sanitaire et économique sans précédent.
« Je recommande à ce triste sujet la lecture édifiante de l’article documenté publié par l’association Contribuables Associés le 23 avril et intitulé : " Crise du coronavirus: la CGT continue de vouloir mettre la France à terre ".
On y apprend notamment que la fédération CGT des services publics a reconduit son appel à la grève, le jeudi 23 avril 2020 : " Que ce soit dans le public ou le privé, la CGT n’a de cesse de vouloir stopper l’activité du pays depuis le début la crise du coronavirus. La CGT des services publics demande le droit à l’accumulation des RTT pendant le chômage partiel, les heures supplémentaires prépayées en attendant la sortie du confinement, et une prime à tous les fonctionnaires qui télé-travaillent. Aux frais de la princesse bien entendu.
Ce qui est irréaliste car les caisses de l’État sont vides (malgré le taux de prélèvements obligatoires le plus fort des pays développés). Pour rappel, les fonctionnaires et hauts fonctionnaires ont déjà la garantie de toucher l’intégralité de leur traitement - qu’ils travaillent ou non - chose inenvisageable quand on est un salarié du privé."
Et l’association de poursuivre implacablement : " Depuis le début de la crise du coronavirus, la CGT a également contribué, par exemple : - Au dépôt de bilan de Presstalis, principal distributeur de la presse en France, piloté en sous-main par l’inénarrable CGT du livre. Presstalis renfloué depuis des années grâce à l’argent du contribuable. - À la non-ouverture des librairies. Le syndicat des libraires d’Île-de-France CGT s’y est opposé. La perspective de rouvrir les librairies était "inenvisageable" pour l’organisation syndicale." Le reste à l’avenant.
Pour Contribuables Associés, Philippe Martinez, dans sa logique idéologique de guerre de tous contre tous ne cesse de réclamer «la fermeture des activités ne contribuant pas aux besoins vitaux ».
Notre article est à lire ici : "Crise du coronavirus : la CGT continue de vouloir mettre la France à terre"
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