Ladite association vise à « promouvoir et défendre le droit d’asile ». A ce titre, elle a reçu 25 327 000 euros de subventions en 2019.
NVB avait démissionné de son poste de directrice chez Ipsos pour se présenter aux élections régionales en 2021, mais son flop de 11,4% en Auvergne-Rhône-Alpes la contraint à ne pas persister en politique.
Elle se recase donc dans l’associatif de gauche, comme tant d’autres socialistes en échec.
On pense ainsi à Benoît Hamon, candidat malheureux à la présidentielle de 2017 et depuis directeur général de l’association pro-migrants Singa (915 755 euros de subventions publiques en 2020), ou à Emmanuelle Cosse, ex-ministre du Logement de François Hollande, élue présidente de l’Union sociale pour l’habitat qui regroupe la majorité des organismes de logement social et brasse donc des milliards d’euros d’argent public.
Il y a également Cécile Duflot, ancienne ministre de l’égalité des territoire et du logement sous François Hollande, désormais directrice générale d’Oxfam France, une association internationale de lutte contre la pauvreté dont près de la moitié des ressources provient de fonds publics (tels que l’Agence Française de Développement) pour un montant total de 7 859 124 euros en 2021.
Lorsque l’on défend une politique d’assistanat, difficile dès lors de rentrer dans le privé et de ne devoir ses sous qu’à son seul mérite…
Heureusement, l’Etat est là pour opérer une transition en douceur.
Pourquoi pas de subventions pour retour des migrants chez eux et pour remettre les anciens ministres au vrai travail.
Comment voulez-vous de émigration regraisse le ministre de l'intérieur peut rien faire on joue sur les deux tableaux, tant que l'ont supprimera ses subventions à ses associations nous pouvons pas avoir des résultats positifs
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