Si l’été est la saison des prunes, celles que distribue la mairie écolo de Lyon ne connaissent pas de saison.
Pour lutter contre les conducteurs urbains solitaires, « l’autosolisme » en novlangue, la municipalité du maire Grégory Doucet vient d’activer des radars surveillant les voies de covoiturage (file de gauche) lyonnaise.
Depuis la fin juillet, ils distribuent des PV à 135 euros.
Juchées sur des pylônes d’acier noir, ces machines à cash sont installées sur 16 km de voies rapides, le long de la M6 et de la M7 aux entrées de la ville.
Sur la M6, on les trouve dans les 2 sens entre l’échangeur de La Garde (Dardilly, sortie n°33) et celui du Valvert (Tassin-la-Demi-Lune, sortie n°36).
Sur la M7, elles sont installées entre le Musée des Confluences (Lyon) et l’A450 (Pierre-Bénite).
Pas de répit : équipés de caméras infrarouges, ces mouchards pistent les automobilistes de jour comme de nuit.
Dès qu’un Robinson de la route est repéré, son image est transmise à un centre de vidéosurveillance où un policier municipal le verbalise sans avoir à bouger de son siège.
L’usage de ces voies de circulation, pourtant financées avec l’argent de tous les contribuables, est réservé aux voitures Crit’Air 0, aux voitures avec au moins un passager à bord, aux taxis, et aux véhicules d’urgence et de transports en commun.
Ce type d’installation n’a pas que des vertus : par exemple à Strasbourg, où 2 radars du même type ont accru les embouteillages en augmentant l’émission de CO2 que ce dispositif est censé combattre…
Est-ce que cela concerne aussi les scooters ?
En pratique un scooter consomme plus qu’une Prius.
Par contrela solution des impôts qui justifie de se plaindre de tout ne me sembke pas juste.
Une offre politique manque :
L’état serait un fournisseur de services.
Les citoyens des consommateurs.
Les services seraient toujours mutualisés et financés par une facturation directe à des abonnements.
Les impôts, les taxes, les subventions n'auraient plus de pertinence. Tous les prélèvements fiscaux y compris ceux des sociétés seraient réorientés vers les citoyens qui seraient donc en capacité par leurs choix de consommations de services d'obtenir de l'état la réponse à leurs attentes.
Rien ne serait privatisé mais une société privée aurait le droit de proposer des nouveaux services qui devraient trouver preneurs.
Comme l'état aurait besoin de trouver des citoyens clients pour justifier son existence il devrait être dans la séduction permanente.
Exemple: désert médical. Pour continuer à financer la santé une solution devrait être trouvée pour ne pas perdre des abonnés.
Actuellement on est tenue de payer sans la garantie de recevoir le service en retour.
Chacun orienterait l'économie et ses propres dépenses en fonction de son niveau d'attente.
L'état devant son existence à la satisfaction de ses clients citoyens devrait adapter son offre pour répondre au marché. Une grande partie de l’évasion fiscale se retrouverait à nouveau dans le circuit.
Faudra circuler avec une poupée gonflable en passager!
Une atteinte de plus à nos libertés par des écologistes de pacotilles
Quid des professionnels qui se voient imposer ces mesures contraignantes et discriminatoires
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