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Réunionite et bla-bla
" Pour avoir été confronté à cette mafia de la haute fonction publique, dans ma modeste fonction de maire d’une commune rurale de 1 000 habitants (à ce niveau cela relève plus du sacerdoce
que de la carrière politique), j’approuve votre analyse de la situation.Maire de 1971 à 2008, j’ai pu voir l’évolution d’une fonction publique digne de ce nom.
En 1971, les fonctionnaires nationaux et départementaux étaient coopératifs, ils nous conseillaient dans l’élaboration des dossiers et leur financement, pour devenir, 30 ans plus tard, des générateurs et des contrôleurs de règlements et de normes en tout genre.
On a souvent coutume, en France, lorsque survient un événement grave, de prendre un marteau-pilon pour écraser une mouche afin d’éviter que le phénomène ne se reproduise. J’ai même été menacé de prison pour avoir refusé de signer un arrêté de fermeture d’un établissement recevant du public. Je ne suis pas opposé à des regroupements communaux (j’ai été le président d’une petite communauté de communes de 4 500 habitants) pour réaliser certains équipements ou services, mais je suis opposé aux monstres que sont certaines agglos créées d’autorité par les préfets, il y a trois ou quatre ans.
Ces structures devaient générer des économies d’échelle en fusionnant certaines compétences.
Or c’est le contraire qui est constaté : des études réalisées par des organismes neutres l’ont prouvé. Ces multiplications de surenchères m’ont aidé à quitter volontairement mes fonctions d’élu car j’étais exaspéré par la « réunionite » et les « bla-bla-bla » générés par ces structures dont il fallait bien justifier la création et le fonctionnement, souvent sous prétexte d’amélioration de la démocratie."
Alain Reynaud, Éclassan (Ardèche)
Pléthorique et dogmatique
" La crise du coronavirus n’est que le révélateur des conséquences de dysfonctionnements existants depuis des décennies d’une haute administration trop pléthorique, dogmatique, routinière et finalement très peu soucieuse de lutter concrètement contre les gaspillages financiers qui ne cessent jamais. L’engagement effectif de la Grande Réforme de l’État consistant à supprimer toutes les sources de pesanteur inutile et coûteuse m’apparaît à cet égard primordial. Sans lequel il y a, à mon sens, très peu d’espoir d’aboutir à une amélioration notable de la situation." Pierre E., Évry (Essonne)
Hémorragie
" Bravo M. Charles Prats et Contribuables Associés pour votre travail contre les fraudes sociales et merci. Il y a du travail ! Va-t-on finir par faire cesser cette hémorragie financière ? Mais pourquoi ce gouvernement qui ne cesse de nous fliquer (impôts…) ne cherche-t-il pas à faire rentrer ces « sorties » inadmissibles ? Annick M.
Balcon doré
" En bas, c’est comme en haut, on place la famille, les copains… Comment voulez-vous que l’on accorde notre confiance, impossible, c’est terminé. Notre société part en vrille et ça risque de finir avec une révolte ou une guerre civile car taper toujours sur les mêmes, ça suffit. Il nous faudrait un vrai chef (style général De Gaulle) au service de la Nation et de ses citoyens et non à son propre service. Ils gaspillent l’argent, ils ne comprennent rien au terrain, aux entreprises, à ce que veut le peuple français. Ils sont sur leur balcon doré. C’est désespérant. " Marie-José S., Paris
Extrême légèreté
" J’ai lu avec intérêt l’éditorial de septembre 2020 et je dois dire que je ne suis pas encore revenu de l’extrême légèreté avec laquelle les finances publiques sont gérées par l’État français et certaines villes. La palme revient au faux bénéficiaire retraité de 117 ans en Algérie. Bravo pour votre travail qui devrait être plusconnu des Français. " Michel M., Ouve-Wirquin (Pas-de-Calais)
Fonctionnaires
" Il aurait été judicieux quecertains fonctionnaires auchômage partiel durant leconfinement aient le mêmerégime que le privé. Même lesfonctionnaires égyptiens qui nesont pas très bien payés ontversé un pourcentage de leursalaire à la collectivité. " Christophe R.
SOS Hôpital
" Le budget des hôpitaux aaugmenté ces dernièresannées mais tout est passédans les agences régionalesde santé et l’ébauche de cadrepour faire de la gestion...On n’a jamais vu un agentadministratif soigner un patient.Le poids de l’administration sefait au détriment du malade ! " Anne-Marie G.
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