Le magistrat Charles Prats révèle que nous entretenons 2,5 millions de bénéficiaires de prestations sociales nés à l’étranger n’étant pas censés être en France mais percevant tout de même des fonds publics.
Concernant les retraites, c’est encore pire : la moitié d’entre elles sont perçues par des gens nés à l’étranger. Et tout cela sans compter le « tourisme médical » : 16% des 200 milliards d’euros de dépenses de maladie vont à des individus qui ne résident pas en France.
Face à ce vol organisé que subissent les contribuables, quelles sont les propositions des candidats ?
Éric Zemmour souhaite créer une brigade nationale de lutte anti-fraude, imposer des contrôles systématiques aux allocataires et s’assurer qu’aucun bénéficiaire de minima sociaux ne touche un montant cumulé supérieur au SMIC.
Marine Le Pen veut créer un ministère de la lutte contre les fraudes.
Valérie Pécresse entend réserver les aides sociales non contributives et les allocations familiales aux Français et aux étrangers justifiant de cinq ans de séjour régulier en France et mettre fin au logement social à vie en mettant en place un bail de 6 ans.
Comme Eric Zemmour, Nicolas Dupont-Aignan souhaite remplacer les cartes Vitale par des cartes vitales biométriques, et comme Valérie Pécresse, il préconise d’attendre cinq ans avant de donner une carte vitale à un étranger.
Pour Emmanuel Macron, une faute grave entrainera désormais, en plus du remboursement, la suspension de la prestation.
Les candidats de gauche n’abordent pas la lutte contre la fraude sociale dans leurs programmes. Cela révèle que la lutte contre la fraude sociale est avant tout une volonté politique, puisqu’elle rejoint le sujet très sensible du coût de l’immigration.
Merci pour ce résumé !!
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