Un sujet primordial pour les contribuables, retrouvez l'interview complète ici.
La France croule sous le millefeuille administratif.
Commençons par supprimer les régions. La dernière réforme qui devait produire des économies, n'a en fait que générer des coûts supplémentaires, personnels plétoriques, deux hôtels de régions dans certains cas, indemintés des élus destinées à remplacer des salaires, etc, etc.
Supprimer aussi les communautés de communes qui au départ devaient générer des économies par la mutualisation des emplois.
En réalité ren n'a été mutualisé, les com-com on fait des emprunts pour investir dans des bureaux, du matériel, er embauché du personnel
10 milliards €. : du symbolique ? He beh ! Du symbolique à 10 milliards €., c'est du sacré symbolique. Ce sont les petits ruisseaux qui font les grandes rivières.
B. Perrin n'est pas très explicite sur la suppression des Conseils Départementaux. Je partage l'avis du journaliste V. Roux ''( et de par exemple aussi P. Praud sur C. News qui a compris bien des choses), ce serait les régions administratives qui seraient à sucrer en premier.
Très mal étagées, on passe de 1 état à 18 régions, si on passe aux communes juste derrière (sans compter c'est vrai les couches d'intercommunalité) ça nous ferait en gros 5000 communes par région !! La compétence économique des régions est surfaite genre mouche du coche, pas du ressort du public, mais du privé ; les lycées sont largement transférables aux départements, les transports sont à tous les niveaux, du local jusqu'au national... Si on fait un étagement toutes les 18 entités pour arriver à nos 30 000 communes, on ne va rien supprimer du tout. Sans compter les compétences saucissonnées ou pire croisées parce que chacun s'occupe de choses différentes.
150 milliards €. de déficit étatique 2023 : à ce niveau exceptionnel, c'est bien sûr d'abord et très majoritairement dans les dépenses qu'il faut tailler. Si on est bon gestionnaire de père de famille ou d'affaires publiques, c'est pareil, on dépense en fonction de ce qu'on a en caisse, pas l'inverse. Cela étant, il n'y a pas lieu de pas se priver de recettes supplémentaires là où ça peut se concevoir. La situation catastrophique actuelle amène quand même à se poser la question d'une tranche IRPP supplémentaire ou peut-être même deux. On est quand même passé d'une dizaine de tranches il y a trentaine d'année à quatre aujourd'hui.
Je rappelle que l'IRPP a été crée en 1914, pour faire face à une situation exceptionnelle.
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