Pour lutter contre le harcèlement à l’école, le ministre de l’Éducation nationale Gabriel Attal a promis cette semaine d’inscrire dans le cursus scolaire des « cours d’empathie », dès la maternelle. À la lecture du projet de loi de finances 2024, son collègue du Budget Thomas Cazenave aurait intérêt à y ajouter un module de propagande intitulé « Accepter avec allégresse de payer les dettes de l’Etat » ! Sans quoi, il y a fort à parier que nos enfants nous demanderont à juste titre des comptes.
Alors que l’urgence d’une gestion rigoureuse de l’argent public (comprendre : l’argent des contribuables) est désormais dans tous les esprits, les actes tardent à venir. Le gouvernement prévoit dans son plan un déficit de près de 140 milliards d’euros, soit plus de 35% entre ses recettes et ses dépenses. La raison ? Comme tous ses prédécesseurs depuis 1974, l’actuel gouvernement a fait le choix de présenter un budget largement en déficit. Certes il y a un léger mieux, Bercy ambitionne de ramener ce dernier à 4,4 % de notre PIB (contre 4,9 % en 2023) mais en se basant sur un taux de croissance auquel ni l’INSEE, ni la Banque de France ne croient. Le président de la Cour des comptes Pierre Moscovici évoquait hier « des prévisions optimistes ». Pire, « peu de mesure d’économies structurelles » sont au programme, selon lui. Tout est dit lorsque l’on connaît la prudence diplomatique de l’ancien ministre des Finances de François Hollande. Au total, seulement 16 milliards d’économies (dont la plus grande partie proviendra de l’extinction progressive du bouclier tarifaire pour l’électricité) pour plus de… 491 milliards de dépenses !
C’est pourtant là que le gouvernement était attendu. La France dépense trop : en 2022, les dépenses publiques représentaient 58,3 % de la richesse nationale. Les plus jeunes d’entre nous espéraient, avec le lancement des « Assises des finances publiques », qu’un changement de paradigme interviendrait. La montagne d’espérances a de nouveau accouché d’une souris.
Gouvernement d'irresponsables, politique irresponsable. l'exemple du ministre de l'éducation est plein de vérité, il parle de lutte contre le harcèlement, d'autorité, de tout ce qui n'est pas du ressort de l'école ! La seule ligne devrait être : ENSEIGNEMENT, SAVOIR, INSTRUCTION ! Il y a des lois pour les harceleurs, qu'elle soient appliquées, Quand un élève harcèle un autre ou des autres élèves, il est éjecté de l'école, les allocations supprimées. L'éducation est due par la famille, si elle n'est pas faite on punit la famille. L'autorité est apprise par les parents, si un élève fait preuve d'irrespect, manaces ou autre, il est éjecté de l'école et les parents se voient condamnés et suppression des allocations qui sont faites je le rappelle pour aider à élever les enfants dans le respect et le savoir vivre. Certains diront qu'on punit toute la famille pour un qui déconne, mais c'est nomal, ainsi les parents devront faire le travail d'éducation et non percevoir des allocations sans contrepartie. L'école ne doit se soucier que de l'instruction.
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