L’arroseur arrosé : alors qu’il déclarait encore sur Twitter le 18 avril dernier que les Français en ont « ras le bol de la fraude fiscale qui coûte 100 milliards euros par an», le député LFI Carlos Martens Bilongo est soupçonné d’avoir dissimulé une partie de ses revenus.
Une procédure a été lancée contre l’élu du Val-d’Oise après un signalement de Tracfin, l’organisme rattaché au ministère de l’Économie et chargé de traquer la fraude.
Le député « insoumis » de 32 ans est sous le coup d’une présomption de blanchiment de fraude fiscale et d’abus de biens sociaux, a confirmé le parquet de Pontoise qui n’a pas communiqué davantage de détails sur le dossier.
Carlos Martens Bilongo est aussi visé par une enquête ouverte au titre de manquement de déclaration à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP).
Selon BFM-TV, le député du Val-d’Oise, un ancien technico-commercial devenu enseignant, est soupçonné d’avoir dissimulé environ 200 000 euros aux autorités sur la période 2018-2022.
L’élu qui était apparu comme une victime lors après les déclarations du député RN Grégoire de Fournas portant sur le retour des bateaux de migrants vers leur port de départ (« Qu’ils retournent en Afrique ») fait aujourd’hui figure de suspect.
Ses comptes bancaires auraient été crédités de plusieurs dizaines de milliers d’euros alors qu’il affirmait ne percevoir aucune rémunération (ni gratification) des sociétés qu’il possède.
Le parlementaire a déclaré 6 participations, dont quatre qu’il détient à 100%.
Il s’agit d’une société immobilière, d’une entreprise de coaching et de 2 entreprises en relation avec le Code de la route.
Tracfin le soupçonne également de détenir un compte bancaire non déclaré à l’étranger.
Carlos Martens Bilongo nie toute l’affaire et soutient ne posséder aucun compte offshore.
Il précise avoir demandé à son expert-comptable de vérifier qu’aucune « erreur déclarative n’aurait pu être commise » et promet une transparence totale sur le dossier.
Enseignant impliqué dans le monde associatif, Carlos Martens Bilongo a été élu en juin 2022 sous l’étiquette de la Nupes en battant François Pupponi, figure socialiste du Val-d’Oise et de Sarcelles qui avait migré vers LREM.
L’annonce de l’ouverture de l’enquête survient le jour de la publication de son premier livre, « Noir Français », un témoignage sur « son histoire faite de luttes, de stratégies de survie, d’intelligence du terrain ».
Et de fraudes ?
Je l'attendais un peu au virage celui-là ! Rappelez-vous le pataquès quand un autre député, de droite mais je ne sais qui exactement, avait dit en parlant des migrants :"qu'ils retournent en Afrique !" et que les grandes gueules de LFI ont traduit par par : "qu'il retoune en Afrique !" laissant entendre que c'était à la seule encontre de M. Bilongo. Le retour de bâton est arrivé, cette fois c'est bien M. Bilongo qui est visé et ses amis de LFI se taisent, ne polémiquent pas ! Les Mélenchon, Jadot et le couple infernal des Bidochons, Garrido-Corbière, spécialistes des déclarations douteuses se font bien petits.
Et ça continue, encore et encore, c'est que le début, d'accord d'accord ! Tous ces donneurs de leçons, ces corrompus, c'est puant ! Ils s'en foutent totalement, ils savent que la justice esr complaisante avec eux, il n'y a qu'à voir pour la députée de l'article ci-dessus, 3 ans d'inégibilité et remborsement de l'argen, plus faveur avec la non inscription sur son casier ! Un citoyen lambda aurait été en prison et l'inscription serait apparue sur son casier. Pour les politiques qui trichent il devrait y avoir double peine, et radiation à vie de la vie politique !
Bilongo, pas beau !
c'est encore plus savoureux quand c'est un des députés de la France insoumise qui est impliqué. À ce parti de donneur de leçons en a quelques-unes à prendre.
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