La plupart des titres de la presse quotidienne nationale et de la presse quotidienne régionaleappartiennent en effet à de grands groupes, comme Dassault ou LVMH.
Chaque titre reçoit néanmoins des aides publiques, soit sous forme d’aides directes (aides au portage, abonnement à l’AFP, plans de restructuration),soit sous forme d’aides indirectes (aides postales via des avantages tarifaires, taux de TVA réduit à 2,1 % pour la presse papier, allocation forfaitaire journalistes).
En 2017, les 15 principaux groupes de presse ont touché plus de 72 millions d’euros. Les deux principaux bénéficiaires : la holding UFIPAR (Les Échos, Le Parisien) détenue par LVMH et SIPA (groupe Ouest France).
(Article extrait du " Livre noir des gaspillages 2019 ")
Recevez GRATUITEMENT le livre choc sur le scandale des gaspillages de l'argent public
Assurez-vous d'entrer toutes les informations requises, indiquées par un astérisque (*). Le code HTML n'est pas autorisé.