La multiplication des éoliennes ruine les contribuables et enrichit des groupes industriels, pour la plupart étrangers d'ailleurs...
La France compte quelque 8 000 éoliennes sur son territoire. 20 000 éoliennes terrestres ou maritimes sont prévues à l’horizon 2028.
Le 21avril, en pleine crise du coronavirus, le gouvernement a démontré une fois de plus qu’il n’a pas le sens des priorités, en adoptant par décret la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) pour 2019-2028.
Cette décision prise en catimini prévoit d’accélérer le développement de l’éolien qui coûte déjà un pognon de dingue au contribuable.
En 2018, la Cour des comptes avait estimé l’engagement public pour les énergies renouvelables à 121 milliards d’euros, dont 40,7 milliards d’euros en 20 ans pour l’éolien.
Entre janvier et avril 2020, le surcoût de l’électricité éolienne par rapport au prix du marché a atteint 1 milliard d’euros !
Tout ça pour des monstres d’acier qui ventilent avec peine 3 % de la production nationale et qui ne tournent en moyenne qu’un quart du temps.
D’accord, ou non, ce sont les contribuables, embringué smalgré eux dans le mythe écolo de la transition énergétique, qui règlent la facture.
Le rachat de l’énergie éolienne par EDF à un tarif fixé à prix d’or par l’État constitue une aide publique que les contribuables et consommateurs financent, malgré eux, via la CSPE (contribution au service public de l’électricité), une de ces trop nombreuses taxes que les usagers acquittent en payant leur facture.
Contribuables Associés s’est joint à l’initiative de la Fédération Environnement Durable (FED), association anti-éoliennes, qui entend déposer prochainement une requête contre la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) devant le Conseil d’État. Ce recours est en phase de rédaction, affaire à suivre.
Sous prétexte de sauver la planète, le vent de folie des éoliennes s'est abattu sur les campagnes françaises, le tout aux frais des contribuables et des consommateurs. Les tenants et aboutissants de cette arnaque expliqués ici ! Rendez-vous Parlementaire du Contribuable n°55 du 26 novembre 2019.
heheheha
Ce que personne ne dit…
Combien de pétrole, donc l’énergie, il a fallut pour créer , fabriquer et installer une éolienne ?
La pollution pour extraire les cuivre d’une mine Chilienne, rien que pour ça on pourrait dégoûter la Gréta d’avoir évoqué la voiture électrique. Puis le coup de rapatriement du dit cuivre vers l’usine de fabrication des composants de l’éolienne et enfin l’installation du moulin à vent ( tonnes de béton, donc encore du pétrole, puis tranchées pour enterrer le câble de cuivre…) . Enfin voilà un engin qui a pollué la planète comme ma vieille voiture diesel pendant 20 ans avant même de produire quoi que ce soit.
Et comme vous l’avez bien dit pour 100€ investit ça coûte 400€ au contribuable et ce n’est pas rentable ( 7000 pour produire autant que la petite centrale de Fessenheim, à condition de tourner 24hsur 24.
De plus avec la voiture électrique il nous faudra un réacteur nucléaire pour 1 million de voiture . En France on y a 35 millions de voiture… soit 245 milliards de moulins à vent . On les met où ?
Qui paie?
Il y a 11 éoliennes à proximité de chez moi depuis 10 ans qui tournent très peu , je me demande qui contrôle l’efficacité et la rentabilité ? . Le comble c’est qu’une société de carburant , à l’origine , va en rajouter cinq à 3 kms . Je m’interroge sur le fait quand une éolienne s’arrête , dans l’absolu était elle productive ? , qu’est ce qui prend le relais en puissance instantanément , si cela existe déjà à quoi servait l’éolienne ?
Le principe serait rentable si il y avait un vent constant entre 15 et 90 Km/h , imaginons une ville alimentée que par des éoliennes !
Assurez-vous d'entrer toutes les informations requises, indiquées par un astérisque (*). Le code HTML n'est pas autorisé.