STOP au financement de la violence et des trafics dans les quartiers

Cher ami contribuable,
Tous les jours, la presse se fait l’écho de bagarres, d’incivilités, d’agressions, de viols, de meurtres… Les forces de l’ordre, les pompiers, le personnel médical ne peuvent plus mettre un pied dans certains territoires de la République sans risquer leur vie.
Les citoyens qui travaillent, qui aspirent à vivre tranquillement dans ces quartiers ont renoncé à ce droit tant ils risquent un mauvais coup.

Alors aujourd’hui, les honnêtes citoyens, les familles, les travailleurs qui se lèvent tôt, vivent dans la peur, baissent la tête et finissent par accepter cette violence comme un fatalité.

Une violence entretenue avec l’argent de nos impôts au nom de la « politique de la ville » : 10 milliards par an ! Depuis 40 ans et le premier plan banlieue du gouvernement de Valéry Giscard d’Estaing, les gouvernements successifs ont distribué des centaines de milliards d’euros pour calmer les quartiers avec les résultats que l’on connaît.

A chaque fois que la police met la main sur des racailles de banlieue et que la justice se décide enfin à les juger, nous avons droit au défilé des avocats qui essayent de nous faire pleurer sur leur enfance malheureuse… J’entends à chaque fois les discours 100 fois répétés : « Il faut comprendre la misère et le peu d’avenir proposé à ces jeunes issus des quartiers défavorisés… »
Des quartiers défavorisés et sans avenir ?!!! Saviez-vous que le "93", la Seine-Saint-Denis, le fameux 9-3 était officiellement en 2018 le 4ème département le plus riche de France. Avec 2 026 millions d’euros de recettes fiscales et de dotations, il est plus riche que les Hauts-de-Seine
(1 797 millions d’euros), la Loire-Atlantique (1 185 millions d’euros) ou les Alpes-Maritimes (1 209 millions d’euros)…
Le criminologue Xavier Raufer a largement démontré aux gouvernements successifs que les milliards d’euros consacrés à la politique de la ville n’ont fait qu’alimenter un système délictuel.
Mais personne n’a encore eu le courage d’admettre des dizaines d’années d’erreurs et de taper du poing sur la table pour dire STOP !
STOP à l'argent de nos impôts, déversé dans les banlieues et qui alimente les règlements de compte, les trafics de drogue, les violences urbaines, les viols, les dealers, les trafics d’armes, les pouponnières d’islamistes…
 
STOP à l’argent de nos impôts, déversé dans les banlieues pour financer des zones de non-droit où la police, les pompiers, les médecins, les infirmières… ne peuvent plus mettre les pieds sous peine de se faire agresser.

Alors que les quartiers sensibles sont les endroits où il y aurait le plus besoin d’encadrement « il y a plus de chance d’y voir une soucoupe volante qu’un car de police » (dixit Xavier Raufer).

Les premières émeutes ont lieu dès le début des années 1980. François Mitterrand et les socialistes vont y répondre par la « politique de la ville », avec des milliards de francs de l’époque, alors qu’il aurait fallu une réponse policière.

Voilà comment le désastre est né. Plutôt que de se faire respecter, l’État est tombé dans le laxisme à coup de subventions publiques et de bons sentiments.

Et depuis 40 ans, plus il y a d’émeutes et de saccages dans les quartiers, plus l’État sort le carnet de chèques ! Votre carnet de chèques au travers de vos impôts.
Et l’État paye à un tel point que même un personnage clé de la Cour des comptes du Sud de la France, qui souhaite rester anonyme pour des raisons de sécurité, s’est affolé des centaines de millions d’euros distribués en subventions aux associations intégrées au programme de la « politique de la ville ». Subventions non contrôlées, non maîtrisées… De l’argent qui part dans la nature.

Son supérieur lui a fait comprendre que c’était « circulez y’a rien à voir » sinon on risquait la guerre civile.
Car c’est bien de cela dont il s’agit. L’État préfère acheter la paix avec nos impôts plutôt que faire la guerre aux délinquants.
Et cela fait 40 ans que tout le monde ferme les yeux sur la destination des milliards d’euros qui quittent le ministère de la Ville pour les programmes dans les quartiers. C’est le flou artistique. L’argent passe par des centaines de canaux pour payer des subventions, des projets culturels, des équipements publics, des programmes d’études… et finit volatilisé comme par magie, mais pas perdu pour tous !
L’affaire dite « du jeune Théo », qui accusait la police de l’avoir violé, a mis à jour un système de détournement d’argent ultra organisé. Théodore Luhaka, de son vrai nom, a été mis en examen avec plusieurs membres de sa famille pour répondre de soupçon d’escroquerie aux aides de l’État, soit environ 52 000 € de subventions. 
Mais l’affaire ne s’arrête pas là. Mickael, son frère, aurait détourné près de 650 000 € via une fraude aux emplois aidés. Soit plus de 700 000 € de nos impôts qui ont payé du bon temps à des délinquants de plus en plus nombreux.
Pendant ce temps, tous les jours des membres de Contribuables Associés m’écrivent pour me dire qu’ils ont une retraite de misère, après toute une vie de travail à payer honnêtement leurs impôts.
Et je vous le dis, les bénéficiaires des aides de la « politique de la ville » ont bien compris que c’était le tonneau des Danaïdes ; le jackpot absolu dans toutes les régions de France, payés par les honnêtes gens !

Le pire, c’est que malgré les milliards d’euros engloutis pour endiguer la déliquescence du pays, les rangs des délinquants grossissent à vue d’oeil.
Par exemple, nous avons encore en mémoire les Tchétchènes à Dijon en train de semer la terreur dans toute la ville cet été pour régler leurs comptes entre bandes.
Sans parler de Philippe Monguillot, le chauffeur de bus de Bayonne, agressé et tué par 4 criminels au casier long comme le bras, habitants un quartier sensible de la ville.
Ou bien encore des bandes de dealers du XIXème arrondissement de Paris, tout juste sortis de prison, qui opèrent des tirs de mortiers pour protéger leur trafic de drogue, au pied des immeubles.
Une honte pour la France ! On a beau mettre tous les milliards d’euros de nos impôts sur la table, les quartiers sont toujours gangrenés par des délinquants qui font régner la terreur. Qui sera le prochain mort sur la liste ? Vous, moi, nos enfants ? Combien va-t-il falloir encore de morts parmi les honnêtes gens, qui travaillent et payent leurs impôts pour que l’État mette les moyens là où ils doivent être mis : dans la sécurité.
Nous devons dire stop ! Cliquez sur ce lien !  Plus un centime d’impôts ne doit aller à la « politique de la ville » tant qu’une commission d’enquête n’aura pas été décidée pour dresser un bilan clair et chiffré afin de savoir où passe réellement notre argent.
Car en banlieue ce sont surtout nos milliards d’euros d’impôts qui brûlent !

En 2015 Xavier Raufer avait été clair dans l’entretien qu’il avait accordé à Contribuables Associés : « Il faut arrêter la politique de la ville et tout reprendre à zéro. Après l’attentat contre Charlie Hebdo, il fallait prendre la liste des 100 cités les plus dangereuses et y envoyer les gendarmes pour tout nettoyer. »

Le Premier ministre Castex doit impérativement et en priorité décider de mettre en place une commission d’enquête sur la « politique de la ville ».
 
Car, avec la vague verte sortie des urnes dans les grandes villes de France la situation risque de s’aggraver. Comment ne pas être en colère quand on entend Eric Piolle, Maire EELV de Grenoble, une des villes les plus violentes de France, reprocher à Gérald Darmanin d’avoir fait un coup de communication en ordonnant une opération de police contre ce qui semblerait être des dealers armés dans sa ville. C’est honteux ; quel discours laxiste et irresponsable de la part d’un élu.

Et nous ne sommes pas dupes. Car nous savons aussi que des élus achètent les voix de leur réélection avec l’argent de la « politique de la ville ».
On se rappelle de l’affaire Andrieux, députée PS de Marseille, qui utilisait l’argent de la « politique de la ville » avec les subventions destinées aux associations, pour acheter des voix dans les cités.
Elle a depuis été condamnée par une Cour de justice. Aujourd’hui c’est Karim Zéribi, ex-élu EELV marseillais, souvent présenté comme « porte-parole des banlieues » qui est condamné à deux ans de prison avec sursis et trois ans d’inéligibilité, pour avoir détourné des sommes provenant de subventions publiques (vos impôts) versées à des associations, à des fins politiques personnelles.

Seule l’association Contribuables Associés ose dénoncer le scandale des milliards d’impôts alloués à la politique de la ville pour des résultats plus que catastrophiques. En France nous sommes passés du principe de réalité à la culture de l’évitement ; le fameux « politiquement correct », le « pas de vague », avec les conséquences que l’on connaît.

Vous le savez, votre association ne se cache jamais derrière son petit doigt et ne fait jamais de langue de bois ! Elle n’enterre jamais un seul dossier. Nous dénonçons et obligeons les élus à nous entendre.

Mais pour cela j’ai absolument besoin de vous. Jean Castex doit savoir que nous sommes des centaines de milliers de citoyens décidés à faire face et à ne plus nous laisser plumer sans réagir.

Si nous ne le faisons pas maintenant,
la France finira dans le chaos total !

Nous ne pouvons pas nous résigner à payer des impôts pour des gens qui ne veulent pas travailler, qui profitent du système social généreux, qui vivent de trafics, d’aides en tout genre et qui piétinent l’ordre républicain tous les jours, partout en France.
Le comble… après tous ces milliards payés par les contribuables, on ne compte pas moins de 60 quartiers en France inclus dans le programme de « reconquête républicaine ».
Traduction : zones de non-droit, tenues par des caïds qui font leur loi, où la République a perdu !
C’est parce que nous ne pouvons pas abandonner les gens qui vivent dans ces quartiers à une poignée de délinquants, que nous devons reconquérir ces territoires avec les forces de l’ordre et pas avec des milliards d’euros.

Nous sommes la Résistance et nous devons mener ce combat ensemble.
Nous ne pouvons plus accepter ce chantage.

Combien de programmes nationaux de rénovation urbaine (ANRU) et de rénovation des quartiers ont déjà été engagés à coups de milliards d’euros de nos impôts pour améliorer les conditions de vie des habitants pour un résultat nul ! La peinture n’est pas encore sèche que tout est déjà dégradé par des sauvageons.

À Grigny la Grande Borne (91), c’est déjà 295 millions d’euros de projets de rénovation, financés entre 2007 et 2019. Eh bien, c’est en face de ce quartier rénové qu’en octobre 2016, 4 policiers ont été brûlés vifs dans leur véhicule suite à un guet-apens.

Combien de « plan école » sont financés par l’argent de la « politique de la ville » ? des dizaines… Résultats ? le niveau scolaire dans les ZEP n’a jamais été aussi faible. Une étude de l’INSEE a d’ailleurs démontré que « la mise en place des zones d’éducation prioritaire n’a eu aucun effet significatif sur la réussite des élèves ». Pire encore, l’école est une institution tellement détestée par certains, que dans certains quartiers ils y mettent le feu.
Combien d’associations bidons ou inefficaces de réinsertion de djihadistes sont financées avec nos impôts ? On se rappelle du centre de Beaumont-en-Véron (Indre-et-Loire), avec un budget de 2,5 millions d’euros annuel.
Il employait 27 personnes chargées de l’encadrement. Le lieu était censé accueillir 25 volontaires, des personnes qui ne sont pas impliquées dans un dossier judiciaire. Mais il n’en a accueilli pas plus de 9. Une blague aux frais des contribuables !

Alors je vous demande de me renvoyer votre pétition à Jean Castex. Pour ceci, cliquez ici et remplissez votre pétition.
C’est le moment pour lui, Premier ministre, de prouver qu’il fait ce qu’il dit. Jean Castex se vante d’être un homme de terrain. Eh bien, c’est le moment d’y aller sur le terrain. La France attend du Premier ministre de l’autorité et de la sécurité.

Il doit commander une commission d’enquête pour savoir où est passé l’argent et dénoncer les coupables de ce hold-up organisé depuis des années. Mais il doit aussi arrêter immédiatement de déverser des milliards d’impôts dans les quartiers sans aucun contrôle, stratégie et résultats.

Jean Castex doit écouter la colère des citoyens, des Français et intervenir. Il doit stopper l’hémorragie pendant qu’il est encore temps. Le Premier ministre doit avoir le courage de réformer la « politique de la ville ».

STOP à nos impôts qui financent la délinquance !
 
Ensemble, dénonçons ce délitement. S’il vous plaît, renvoyez-moi votre carte-pétition signée en cliquant ici, accompagnée de votre don pour financer ce grand combat. Je la déposerai en votre nom, avec celles de tous les citoyens résistants, sur le bureau de Jean Castex à Matignon.

Je vous sais à mes côtés et vous remercie.

Bien à vous.
Directeur de
Contribuables Associés

P.S. Les incivilités, la délinquance, les trafics… n’ont jamais été aussi nombreux malgré des « politiques de la ville » toujours plus généreuses. Les contribuables y ont laissé des milliers d’euros de leurs impôts pour des programmes qui ne fonctionnent pas.

Il est temps de prendre le problème à bras le corps et de demander une commission d’enquête pour savoir où va l’argent.

Nos impôts ne doivent plus financer des « politiques de la ville » inefficaces.