- Technocrates et politiques ont géré la pénurie par le mensonge.
- Et la verticalité administrative, déconnectée des réalités du terrain, s’est noyée dans son inertie et son incompétence.
Ne restaient debout que les soignants, seuls au front, prêts à se
battre contre le Covid19... avec les « moyens du bord ».
Comment en est-on arrivé là ?
Nous qui mettons tant d’argent dans la santé ?
Nous avions paraît-il « le meilleur système de santé du monde » ...
C’est surtout le système le plus coûteux de l’Union européenne.
L’Etat y a consacré 278 milliards d’euros de son budget en 2019. Plus de 2 500 milliards d’euros sur 10 ans.
Une manne ! Que nous acceptons tous de payer (avec nos impôts) parce que nous croyons financer un système de santé robuste et efficace.
Pourtant, quand sonne le tocsin de l’action, quand il faut monter sur le pont et se battre, c’est la débandade !
- Là où les Allemands démarrent avec 28 000 lits de réanimation et peuvent monter à 40 000, nous n’en avons que 5 000 (et peinons à monter à 14 000).
- Là où les Allemands ont des réserves stratégiques de masques et arrivent à s’en procurer massivement, nous n’en avons pas.
- Là où les Allemands font massivement des tests de dépistage depuis le début de la crise-Covid, nous en sommes incapables.
Les Allemands ont cassé les chaînes de transmission du virus, pendant que les Français ont accumulé les morts et ont été contraints de mettre toute l’économie à l’arrêt sous peine de voir les hôpitaux imploser...
Fragiles, nos hôpitaux ont été incapables d’encaisser sereinement le choc viral du Covid. Malgré les centaines de milliards déversés dans le système de santé publique. Malgré des soignants héroïques.
Le constat est sans appel : l’argent injecté dans le « système » n’arrive pas sur le terrain, dans les hôpitaux.
Depuis des mois, urgentistes, chefs de services hospitaliers, infirmières... tous les soignants nous le crient ! S’époumonent ! Nous manquons d’effectifs et de moyens !
Mais alors...
Où passent les centaines de milliards versés aux hôpitaux ?
Détournés ! Engloutis :
► Par la bureaucratie ! Notre système de santé est sur-administré, ultra normé, corseté, surveillé par une armada de technocrates non soignants. Un écheveau administratif d’une complexité inouïe, pris en flagrant délit d’incompétence et pulvérisé par le Covid.
► Par le personnel hospitalier administratif pléthorique. Ce personnel non médical représente 35 % des emplois hospitaliers en France (contre seulement 24 % outre-Rhin). Et jusqu’à 50% des effectifs dans certains hôpitaux selon Philippe Juvin, chef des urgences de l’hôpital Georges-Pompidou.
► Par l’incompétence administrative qui nous coûte « bonbon » : comme ces 8 500 respirateurs commandés d’urgence en mars par des hauts fonctionnaires à Air Liquide pour faire face à la pénurie, et qui ne font pas le poids dans une salle de réanimation ! « Si vous vous en servez pour un syndrome respiratoire aigu, vous risquez de tuer le patient au bout de 3 jours. Parce que ça n’est pas fait pour ça » s’alarme Yves Rebufat, anesthésiste-réanimateur. Une erreur à 30 millions d’euros.
De l’argent, il y en a ! Le problème c’est qu’il est mal dépensé.
Il arrose technocrates et bureaucrates, au lieu d’être investi sur le terrain : dans l’achat de matériels de pointe, le renforcement des effectifs et la rémunération des soignants. Si méritants.
Et ça, ce n’est plus tolérable. Ça doit changer.
Mais il y a pire...
Devant nous, le risque « d’écroulement » économique
Faute d’avoir un système de santé robuste, il a fallu ‘débrancher’ la France. Mettre à l’arrêt son activité économique, créatrice de richesses.
Ceci aura des conséquences cataclysmiques :
Edouard Philippe met en garde contre « le risque d’écroulement » de l’économie. Rien que ça !
Et l’Etat, déjà surendetté et insolvable avant le Covid19, porte à bout de bras le pays tout entier. Mettant toute l’économie sous perfusion.
Les sommes mises en jeu par l’Etat sont pharaoniques :
- 24 milliards* d’euros pour le chômage partiel qui indemnise nos salariés à hauteur de 80%. L’indemnisation la plus « généreuse d’Europe ».
- 7 milliards* d’euros pour les PME et les indépendants.
- 350 milliards de garantie d’emprunt pour les entreprises.
- 18 milliards pour le tourisme. 1,2 milliard pour les Ehpad... Etc.
Pire. Au moment où l’Etat tire des « chèques en bois » à coups de milliards, plus un seul euro ne rentre dans ses caisses.
Les rentrées financières de l’Etat s’effondrent depuis 3 mois.
A la mi-avril, déjà 43 milliards d’impôts & taxes et 31 milliards de cotisations sociales manquaient à l’appel.
Parallèlement, l’avenir s’assombrit pour les Français. Nous devrons faire face tout à la fois :
- A une récession économique sanglante (estimée à 10%-12% du PIB pour l’année 2020).
- A un déficit budgétaire qui atteint déjà 185 milliards* d’euros (7,5% du PIB).
- A une dette publique de 2 740 milliards* d’euros (majoritairement détenue par les étrangers) – ce qui nous fait perdre notre souveraineté.
- A un déficit de la Sécu qui se creuse à 41 milliards*. « Un chiffre qui donne le tournis » avoue le Ministre Darmanin.Etc...
* derniers chiffres disponibles, en date du 14 avril
Tout ça, en à peine un mois de confinement. Ce n’est qu’un début. Mi-mai, certains évaluent la dépense publique liée au Covid à 500 milliards €.
D’ailleurs, un 3ème projet de loi de finances rectificatif est d’ores et déjà sur la table... « avec des chiffres encore plus impressionnants » prévient le Ministre Darmanin.
Nos comptes publics sont malades ; ils entrent en phase terminale :
« Je suis à la tête d’un Etat en faillite », s’affolait déjà François Fillon il y a 10 ans.
« Nous dansons sur un volcan qui gronde de plus en plus fort », s’alarmait Edouard Philippe il y a 3 ans.
Aujourd’hui, la machine s’emballe. Et croyez-moi, l’Etat va frapper très fort pour empêcher ce volcan d’exploser. Comment ?
Attendez-vous à une RAZZIA TOTALE
Aussi bien sur vos revenus que sur vos avoirs
Car la dette finit TOUJOURS par être payée par les citoyens.
Oui. Il faudra payer la note. Et cela passera :
► Par une hausse des prix qui démolira votre pouvoir d’achat
Car la planche à billets tourne à tout-va ! La BCE va créer et injecter à elle seule 1 500 milliards d’euros dans le système.
L’inflation, voyez-vous, a le bon goût de faire partir les dettes en fumée. Une aubaine pour les Etats surendettés qui ont tout intérêt à la déclencher.
Mais pour nous, l’inflation est dévastatrice :
C’est l’euthanasie assurée des retraités et bailleurs immobiliers.
C’est aussi l’euthanasie des épargnants qui ne trouvent plus de rendement sur les marchés (la BCE imposant des taux à zéro) et voient leur épargne partir en fumée... et en taxes !
► Par un matraquage fiscal tous azimuts
D’ores et déjà la député socialiste Christine Pires-Beaune réclame la taxation des contrats d’assurance-vie jusqu’à 45%.
Et côté prélèvements sociaux :
Déjà un premier impôt-Covid de 77 milliards € entériné : la CRDS (contribution pour le remboursement de la dette sociale). Prélevée à la source sur TOUS les revenus (7,67 milliards € par an), elle devait s’éteindre en 2024. Eh bien la voilà reconduite jusqu’en 2033 : Soit 77 milliards de ponction supplémentaire d’ici 2033 !
Sa grande sœur la CSG, qui rapporte plus de 116 milliards par an, est la prochaine sur la liste. Car elle touche quasiment tous les revenus. Son taux initial de 1,1% est passé à 8,3% sur les retraites, 9,2% sur les revenus d’activité, 9,9% sur les revenus de l’épargne. Le seuil des 10% sera bientôt pulvérisé.
Certains économistes, comme le très libéral Jean Marc Daniel, estiment l’impôt-COVID inévitable : « La sortie de crise suppose que la ‘danse sur le volcan’ cesse et que le gouvernement assume un impôt coronavirus. » Etc...
Après la crise, vous verrez, chacun va y aller de ‘sa bonne idée’.
Cher contribuable, les attaques contre la propriété privée viendront de toutes parts. Impôts fonciers, taxes en tout genre, charges sociales, impôt société et sur le revenu, sur le patrimoine, les successions... attendez-vous à un feu d’artifice.
L’Etat prédateur, l’Etat rapace, l’Etat sangsue fera feu de tout bois.
Face à la razzia qui se prépare, vous devrez faire un CHOIX :
- Ne rien faire. Et vous laisser « plumer » sans broncher ...
- Ou entrer en résistance et défendre vos intérêts.
350 000 contribuables ont déjà fait ce choix. Ils ont rejoint Contribuables Associés : premier mouvement citoyen de contribuables.
Notre vocation : défendre VOS intérêts. Nous :
- Traquons et dénonçons systématiquement les gaspillages de fonds publics ;
- Luttons avec acharnement contre la tyrannie et l’oppression fiscale, et pour plus de justice fiscale ;
- Menons d’intenses actions de lobbying auprès des députés pour défendre nos intérêts et faire modifier la loi...
Tous les ans nous enregistrons d’incroyables victoires !
Aujourd’hui plus que jamais, notre Nation a besoin d’une association de Contribuables puissante. Qui soit un vrai contre-pouvoir.
- Parce que nous sommes les contribuables les plus taxés au monde.
- Parce que la créativité et l’ingéniosité fiscale des hauts fonctionnaires de Bercy est sans limite !
- Et parce que nous sommes à l’aube d’une razzia fiscale et patrimoniale sans précédent.
Alors si vous avez peur d’être dépossédé des fruits de votre travail, si vous en avez assez de payer trop d’impôts, si vous êtes révolté par la mauvaise gestion de l’argent public... Rejoignez notre groupe de pression. Nous avons besoin de vous !
Car notre force, c’est notre nombre. Plus nous sommes nombreux, soudés et déterminés, plus nous pesons dans le débat, plus nous sommes entendus au plus haut niveau.
C’est comme ça que nous remportons des victoires.
Non aux impôts Covid ! Oui au Programme d’actions anti-RAZZIA !
Nous avons besoin de solutions concrètes. Pas de nouveaux impôts !
De l’argent, il y en a. A condition de cesser de le jeter par les fenêtres. De cesser de financer l’inutile, l’inefficace, le futile. Nous n’en avons plus les moyens !
Exigeons que l’argent public (notre argent) soit bien géré. Dépensé et investi sur le terrain, au service des Français. Au lieu de se perdre dans les méandres d’une fonction publique techno-administrative et pléthorique.
Supprimons la bureaucratie dont le coût est exorbitant, taillons dans le gras du millefeuille territorial (10 milliards €/an), luttons contre la fraude sociale (40 milliards €/an)...
Supprimons les régimes spéciaux (6 milliards/an), alignons les retraites du public sur celle du privé, encadrons l’AME, arrêtons d’arroser les associations de subventions (24 milliards/an), jugulons les montagnes de gaspillages... etc.
Êtes-vous prêt à vous battre pour ça ? Alors dites-le moi !
Renvoyez-moi votre bulletin d’engagement et notre programme d’actions signé en cliquant ici. Je dois savoir si vous êtes avec moi. Je compte sur vous !
Car c’est aujourd’hui qu’il faut monter au front et se battre pour nos idées. Avant que les adeptes du ‘toujours plus d’impôts’ ne monopolisent le débat et imposent leurs vues.
De tout notre poids, faisons barrage aux élus pour qu’ils arrêtent de prendre les contribuables pour des « cash-machines ».
Pour cela, j’ai besoin de vous. De votre soutien. Nous nous interdisons de toucher le moindre centime d’argent public. Pour garantir notre totale indépendance et liberté de parole. C’est notre force, et notre fragilité... car nous dépendons à 100% de vous.
Alors si vous pouviez me faire parvenir un don le plus généreux possible, qui soit à votre portée, ce serait une aide inestimable. Nous avons urgemment besoin de munitions pour passer à l’offensive au plus vite.
Soyez assuré que chaque centime que vous voudrez bien nous donner, est un centime investi dans la défense de vos intérêts. Tout ce que nous faisons, nous le faisons pour vous. Et avec vous.
De tout cœur, merci. Merci d’être là, à nos côtés.
Claude Garrec,
Directeur de Contribuables Associés
P.S.1 N’attendez pas, cliquez ici pour notre confirmer votre engagement à nos côtés.Nous devons monter au front au plus vite au sortir de la crise sanitaire du Covid. Avant que nos adversaires, adeptes du toujours plus d’impôts, ne nous dépouillent des fruits de notre travail.
Une véritable course contre la montre va s’engager au sortir du confinement. Nous devons avoir une longueur d’avance sur eux.
P.S.2 Dès réception de votre ‘ bulletin d’engagement ’, et pour vous remercier de votre engagement à nos côtés, je vous enverrai notre dossier exclusif : « Dressons un rempart contre le gaspillage ».
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