50 000 fonctionnaires qui ne sont pas à l’hôpital, pas dans les écoles, pas dans les administrations… mais qui passent leur temps à organiser le blocage du pays, grassement payés avec l’argent de nos impôts.
Ces blocages qui transforment la vie des Français en cauchemar.
Travailler, partir en vacances, réformer… jamais au grand jamais nous pouvons nous dire qu’il y aura unanimité pour remettre le pays sur les rails. Nous devons toujours faire face à ce scandale très français qui est d’avoir une poignée d’excités prête à tout pour sauvegarder ses privilèges.
Car à chaque mouvement social, ce sont des milliers d’entreprises et de salariés qui se retrouvent en difficulté et au chômage.
Mais ce n’est que le début d’une longue série de galères qui attend les Français. Car ne rêvez pas, les syndicats vont clairement se faire entendre dès la rentrée. Soutenus par les élus de la France Insoumise, qui ont raté leur pseudo coup d’Etat au moment des élections législatives. Ils vont faire entendre leur voix et organiser le troisième tour social.
Car aujourd’hui les syndicats font de la politique : la leur. Ça suffit. Non aux syndicats politisés gavés d’argent public ! Oui aux syndicats représentatifs choisis par les salariés. La défense syndicale est un droit, respectable et respecté.
Alors que les Français font face à une inflation sans précédent, que leur pouvoir d’achat est mis à mal comme jamais, les syndicats vont encore nous faire croire qu’ils vont organiser la rentrée sociale dans notre intérêt. Mais de qui se moque-t-on ?
Le scandale des syndicats est tel en France, que pour mémoire en 2011, le député Nicolas Perruchot avait lancé une commission d’enquête à l’Assemblée nationale sur le financement des syndicats. Après plusieurs mois d’investigations, ce qu’il a découvert était explosif ! Tellement explosif, que sous la pression, le rapport n’a jamais pu sortir officiellement. Il a été décidé en haut lieu que les exemplaires devaient être détruits !
En 2017, le candidat Emmanuel Macron avait mis dans son programme de campagne la reprise en main du dossier sur le financement des syndicats.
Qu’en est-il aujourd’hui de cette promesse ? Rien. Elle a été enterrée dans le plus grand silence en novembre 2017… comme si elle n’avait jamais existé.
En 2022, alors qu’il commence son second mandat, il est temps de faire le ménage dans des pratiques qui n’ont que trop duré. Emmanuel Macron doit répondre devant les Français. Il doit faire de ce chantier une des priorités de son dernier mandat.
Les syndicats ne représentent plus les salariés. Leur rôle aujourd’hui se cantonne surtout à gérer les comités d’entreprise et les actions sociales.
Ils sont devenus des prestataires de services, des agences de voyage, des assistantes sociales. Mais pour continuer à justifier de leur existence et pouvoir toucher le magot de 4 milliards d’euros, ils doivent mobiliser régulièrement leurs maigres troupes.
C’est ainsi que l’on se retrouve avec des préavis de grève permanents de la part des organisations syndicales pour tout et n’importe quoi.
Comme c’est facile d’organiser des grèves quand on est fonctionnaire et que l’on ne risque pas de perdre son emploi. Sans oublier certains grévistes (comme ceux de la SNCF), qui arrivent à se faire payer leurs jours de grève alors qu’ils ont mis à l’arrêt des millions de salariés. Salariés qui eux ne toucheront pas un centime de dédommagement pour les jours non travaillés, et pour certains se feront même licencier pour leurs retards ou absences.
Alors que les syndicats sont en train de se mettre en ordre de bataille pour cette rentrée, nous devons nous aussi nous organiser. Emmanuel Macron est sorti affaibli des élections législatives, c’est le moment de lui demander de prendre en main le dossier du financement des syndicats. Voilà 4 milliards d’euros disponibles tout de suite pour soulager les fins de mois des contribuables. Faites-le lui savoir en cliquant ICI.
Ça suffit ! Ce scandale a assez duré. L’économie du pays n’a plus les moyens d’être tenue par une poignée de syndicalistes dans la revendication permanente qui par leurs menaces empêchent nos dirigeants politiques de mettre en œuvre des réformes et plombent la vie des Français.