Comme d’habitude, on prend aux uns pour financer les autres. Toujours dans le même sens.
Toutes ces grandes entreprises publiques sont truffées de cadres et salariés au statut ultra-privilégié.
Payés à vie (salaire, puis retraite garantis). Jamais sanctionnés en cas d’échec.
C’est ça, les rentiers de la République. C’est un système qui vit aux crochets des Français.
Et que se passe-t-il quand trop de ‘parasites’ vivent sur le dos de la bête ? Le contribuable en crève et la bête se meurt… C’est l’effondrement financier qui menace !
Nous en sommes là.
Le pire c’est qu’il en regorge de partout. Qu’ils prolifèrent comme le Covid en hiver.
à Prenez les 26 agences administratives indépendantes (AAI). En matière de rentiers de la République, elles se posent là.
Leurs rémunérations sont royales ! 18 618 € / mois pour le président de l’Autorité de sûreté nucléaire. 17 516 € pour le président de la Haute autorité de santé. 20 000 € pour le président de l’Autorité des marchés financiers. 16 683 € pour la présidence de la Commission de régulation de l’énergie. 16 250 € pour le président de l’Autorité de régulation des jeux en ligne.
Autorité de la concurrence, CAS, CNIL, défenseur des droits…
Des rentiers planqués bien au chaud dans les AAI, il y en a plein !
Ils pullulent. Se reproduisent. C’est un Etat dans l’Etat que personne ne contrôle.
Des millions de Français se serrent la ceinture, sont mis au chômage ou en faillite par le Covid. Mais les rentiers, eux, continuent de se gaver.
La France et les Français en crèvent. Nous devons réagir. Eveiller les consciences endormies pour faire vaciller ce système à bout de souffle. Êtes-vous prêt à me suivre ? Il y a urgence !
Prenez le CESE* et ses filiales locales. Dont la gestion a été épinglée par la Cour des comptes sur le temps de travail des agents, les primes, l'absentéisme des membres...
Les 175 membres du CESE, qui brillent par leur légendaire absentéisme, ont un salaire moyen de 4 000 € net par mois.