Accablant : alors que Bruno Retailleau a placé le viseur sur les associations œuvrant dans les centres de rétention administrative, la Cour des comptes vient de passer au crible les dépenses consacrées à l’accompagnement des migrants (primo-arrivants) et des demandeurs d’asile en France.
Pour orchestrer sa politique en matière d’immigration, l’État s’appuie en grande partie sur des associations à qui il délègue des « missions » moyennant subventions.
Ces financements publics sont surtout attribués via l’Office français de l'immigration et de l'intégration (OFII), rattaché au ministère de l’Intérieur.
Parmi les principales associations gratifiées, on recense Coallia qui a perçu plus d’un demi-milliard d’euros en 5 ans et qui se retrouve aujourd’hui en pleine tourmente judiciaire suite à de nombreux dysfonctionnements relatés par Contribuables Associés.
Côté chiffres, les crédits de la mission « immigration, asile et intégration » ont progressé « de 23 % entre 2019 et 2023 pour s’établir à 2,3 milliards d’euros », a calculé la Cour.
Dans ce cadre, les financements octroyés aux associations ont augmenté de plus de 52 %. Ils atteignent désormais 1,1 milliard d’euros en 2023.
Cocooning : cette dérive n’est pas seulement due à l’augmentation du nombre des arrivants, mais également à l’entourage enveloppant dont bénéficient les nouveaux venus.
Parmi les exemples cités, les magistrats financiers notent qu’avec un niveau scolaire parfois proche des pâquerettes, les étrangers non francophones sont nombreux à profiter des formations linguistiques (modules de 600 heures de cours) octroyées avec la signature d’un contrat d’intégration républicain (CIR).
Le nombre de ces contrats a progressé de 96 % entre 2019 et 2023. Soit un financement de 76,3 millions d’euros distribués en 2023 (+ 114 % depuis 2019).
En ce qui concerne le contrôle des dépenses, la Cour souligne que « le recours à la subvention offre moins de prise à l’État sur le contenu et le suivi d’exécution des prestations ».
Sachant que les pénalités sont rares lorsque des « non-conformités » sont recensées lors de contrôles ponctuels, les magistrats financiers demandent à l’État un encadrement plus efficace et une meilleure coordination des prestations associatives.
Un contrôle d’autant plus nécessaire que l’ardoise va continuer à monter.
Selon les derniers chiffres du ministère de l’Intérieur, 336 700 premiers titres de séjour ont été délivrés l’année dernière contre 326 954 en 2023, ce chiffre ne prenant pas en compte les attestations de demandes d’asile, les entrées irrégulières ni celles des mineurs et étrangers européens.
Trop c'est trop, On en a marre de payer avec nos impôts des associations qui défendent les OQTF et les étrangers illégaux qui arrivent en masse dans notre pays. C'est inadmissible de voir que ces associations payés par nos impôts vont à l'encontre des droits des français. Si ces associations veulent éxister, elles n'ont qu'à faire appel à des dons privés et non pas à l'argent public des français qui travaillent et qui peine à se nourrir. Voilà une économie en milliards que l'Etat peut faire très rapidement, en arrêtant de subventionner avec notre argent des associations qui se battent contre l'intérêt du peuple français.
Philippe de Villiers : « C’est la première fois dans toute l’histoire de l’humanité qu’un peuple nourrit, loge, soigne et éduque, les envahisseurs qui cherchent à détruire sa culture, ses valeurs, et à le tuer ! »
Bonjour,
Il serait intéressant d'identifier la présence du groupe SOS dirigé par Borello. Di oui, il doit certainement aspirer une grande partie des crédits alloués via ses multiples établissements associatifs. Ne serait-il pas le bras armé de la politique migratoire de Macron?...
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