Saïd Arif, terroriste islamiste, remercie les contribuables français

Écrit par Contribuables Associés

Il est des hontes qui se paient cher, dans tous les sens du terme. La fuite du terroriste islamiste Saïd Arif, le 12 mai 2013, révèle non seulement l’incompétence de notre système judiciaire et l’incapacité des forces de l’ordre à assurer notre sécurité et mais elle révèle aussi que les contribuables français entretenaient généreusement l’un de leurs ennemis les plus acharnés.

 

La République sociale marche sur la tête. Il suffit de lire les colonnes du journal La Montagne et les articles des journalistes Carole Eon-Grolier et de Jean-Baptiste Ledys pour s’en rendre compte. Ces journalistes, faisant leur travail, ont révélé, entre autres, les honteuses générosités accordées avec notre argent par la République à ce terroriste musulman.

L’apologie des attentats-suicide

Saïd Arif n’a rien de l’homme sympathique. Ce musulman professe le djihad dans sa forme la plus violente. Il a été entraîné par Al Qaïda, arrêté en Syrie avant d’être extradé en France pour y être jugé. Ce n’est pas le genre de personne qui devrait se mouvoir librement dans la rue. En outre il a été inculpé pour des délits d’apologie de crime et d’incitation au crime.

Interviewé par l’hebdomadaire catholique de Haute-Loire, Renouveau, Saïd Arif avait déclaré sans détour que «  les attentats suicides ayant une dimension économique sont le meilleur moyen de lutte pour les islamistes ». Sans aucune compassion pour la vie humaine, il ajouta : « Avec une voiture piégée, vous tuez 150 à 200 personnes. »

Le djihadiste logé, nourri, blanchi : une facture de 18.000 euros

Saïd Arif était assigné en résidence surveillé et devait se présentait quatre fois par jour à la gendarmerie. Il a donc été généreusement logé à la Vieille Auberge, à Brioude, ce qui est déjà une première surprise : pour ces gens-là, la prison ne devrait pas être une option, d’autant plus qu’il avait déjà échappé aux forces de l’ordre en Suède et à Millau. Il était évident qu’il s’enfuirait de nouveau un jour ou l’autre.

En attendant, depuis octobre 2012, Saïd Arif bénéficiait d’une chambre et d’une pension complète à la Vieille Auberge. Philippe Nicolas, le propriétaire de l’auberge, s’occupait de son hôte comme un client normal : il lui préparait des plats halal, veillait à son bien-être, mais au fond Philippe Nicolas ne faisait que son métier, il n’y a rien à redire sur ce point.

Le point qui fâche est que la facture des services fournis par la Vieille Auberge n’était bien entendu pas payée par l’Islamiste. Ce sont les contribuables français qui lui payaient son confortable séjour.

Jean-Jacques Faucher, maire de Brioude, avait dénoncé une situation inappropriée. « Saïd Arif se vante de coûter 2.600 euros par mois, sans avoir le droit de travailler, » précise le maire, ajoutant que « cette situation grotesque doit prendre fin ! » Cela veut donc dire que SaÏd Arïf a couté plus de 18.000 euros aux contribuables en 6 mois de présence à Brioude. Grotesque est un mot faible… Mais ce n’est pas tout.

L’aide de 5.000 euros de Pôle Emploi au terroriste islamiste

Hallucinant ! Les journalistes de La Montagne nous informent que « Saïd Arif venait de percevoir très récemment la somme de 5.000 euros de l’agence Pôle Emploi de Brioude. Un pécule conséquent qui pourrait faciliter son escapade. » Mais au nom de quoi ? Saïd Arif est un dangereux terroriste, pas un chômeur ! La générosité du modèle social français confine à la bêtise la plus crasse.

Il a bien du rire en recevant ces 5000 euros qu’il s’empressera d’utiliser contre nous et tout ce que nous représentons. Cet argent a-t-il été donné au nom de la réinsertion ? Ou pour une formation professionnelle ? Quand on pense au nombre de chômeurs, honnêtes citoyens, qui veulent vivre en paix et qui ne bénéficient de rien, il y a de quoi être révolté !

Les contribuables paient pourtant Manuel Valls pour assurer leur sécurité !

L’Etat trouve sa seule et unique légitimité dans la protection des citoyens à l’intérieur et à l’extérieur des frontières. C’est le travail de Manuel Valls, ministre de l’Intérieur. Disons-le : les contribuables le paient pour cela. De manière évidente, il est incompétent.

Car pour Manuel Valls, les CRS, les policiers et les gendarmes, il est plus facile de gazer, matraquer, violenter et de mettre en garde-à-vue des mères de familles, des adolescents et de pères de famille qui manifestent contre le mariage pour tous que de maintenir l’ordre sur les Champs-Elysées où déferlent des hordes de voyous qui fêtent le titre de champion de Ligue 1 du PSG en cassant des vitrines ou de surveiller un terroriste islamiste dans une petite d’Auvergne où tout le monde se connaît.

Les forces de l’ordre et Manuel Valls ne font pas leur travail. L’argent des contribuables est doublement gaspillé. Une première fois à cause des salaires fournis à des agents des forces de l’ordre incompétents ainsi qu’à leur ministre non moins incompétent. Une seconde fois par cette facture totale de 23.000 euros dont a bénéficié Said Arif.

Dans une entreprise privée, les incompétents sont virés ou démissionnent. Dans la République sociale, les incompétents restent. Et les islamistes se promènent…

André Ferrer

Avec Contribuables Associés, luttez pour la réduction des dépenses publiques, car trop de dépenses publiques c'est trop d'impôts, et contre les gaspillages scandaleux d'argent public !

Publié le vendredi, 24 mai 2013

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