Imprimer cette page

La France, patrie des mille et une allocs !

Écrit par Contribuables Associés

Geneviève Frixon vous recommande une saine lecture que nous ne pouvons qu'approuver : le dernier numéro des “Enquêtes du contribuable”, qui se penche sur un sujet difficile mais ô combien crucial pour notre pays aujourd'hui : le drame de l'assistanat.

 

Geneviève Frixon est présidente de l’Association des Contribuables de l’Intercommunalité d’Aubagne.

Appuyer là où ça fait mal !

Ce titre résume à lui seul la dernière Enquête du contribuable intitulée « L’assistanat ruine la France, décourage le travail, avilit les Français » Pour les plus sensibles exposés à la cinétose, nous préconisons deux cachets de Nausicalm afin de pouvoir voyager sans encombre sur les eaux tumultueuses des 1001 allocations…

N’en déplaise à Nicolas Domenach qui s’obstine à mettre la tête dans le sable en claironnant face à un Eric Zemmour survolté que « la jeunesse immigrée est une richesse pour notre pays ! » Aucun doute possible, nous évoluons effectivement au pays des bisounours pour ce journaliste qui applique d’une façon remarquable le déni des réalités si cher à nos édiles de tous bords.

Nausicalm ayant sans doute fait de l’effet, nous espérons que vous pourrez passer les rapides suivants sans trop de nausées.

Les allocations françaises attirent des centaines de milliers de migrants chaque année : et pour cause !

La France passe pour la patrie de l’assistanat pour les 300 000 ou 400 000 immigrés clandestins qui sont pris en charge dès leur arrivée par des associations multiples subventionnées qui font tout pour rendre leur expulsion impossible avec le soutien inconditionnel des médias.

Centre Primo Levi, Cimade, Coallia, Comede, Croix-Rouge française, Dom’asile, Fnars, France terre d’asile, Groupe Accueil et Solidarité, JRS France, Ligue des droits de l’Homme, Médecins du Monde, Secours Catholique sans oublier le Groupement d’Information et de Soutien des Immigrés (GISTI). Les « sans-papiers » bénéficient même d’avocats spécialisés pour leur défense.

Quant aux aides eh bien elles sont légion :

  • La très populaire « AME» qui, sous le gouvernement Sarkozy, demandait une franchise de 30 € acquittée par les clandestins, est tout simplement revenue à son point de départ en 2012 avec une franchise supprimée. Les soins couverts par cette aide médicale d’Etat sont pris en charge à 100%.
  • Le demandeur d’asile a droit à la CMU de base ainsi qu’à la complémentaire (que nous payions par le biais de notre mutuelle) pour lui, son conjoint et ses enfants dès le dépôt de sa demande.
  • L’allocation temporaire d’attente (ATA) pour en bénéficier le demandeur doit être titulaire d’un récépissé de 3 mois. Au 1er janvier 2014 son montant est de 11,35 €/jour.
  • L’allocation mensuelle de subsistance (AMS) versée une fois le demandeur d’asile hébergé. Son montant est compris entre 91 et 718 €/mois elle est versée par la CADA (Centre d’Accueil des Demandeurs d’Asile)
  • Vieillesse : il n’est pas nécessaire de résider en France pour obtenir une pension de retraite.
  • Réductions dans les transports en commun : aucune condition de régularité de séjour n’est exigible. La loi prévoit seulement une condition de revenu. Nos étudiants ainsi que leurs parents qui financent sans aucune aide apprécieront.

Conclusion : attention, cette Enquête du contribuable n’est pas à mettre entre toutes les mains !

Attention aux âmes impressionnables qui, bien blotties dans leur petit intérieur douillet ne se doutent pas que leurs chères institutions financées par leurs impôts entretiennent tout un monde de pique-assiettes sur leur propre sol mais même au-delà !

Avec Contribuables Associés, luttez pour la réduction des dépenses publiques, car trop de dépenses publiques c'est trop d'impôts, et contre les gaspillages scandaleux d'argent public !

Publié le mardi, 29 avril 2014